Une solution pour réduire les coûts de production marketing : l’éditique

L’éditique est un néologisme qui définit les éditions en masse de documents par une entreprise. Il s’applique pour la partie administrative à usage interne (contrats, bulletins de paie…), ainsi qu’à usage externe, à destination de leurs clients (factures, relances…). L’autre partie de l’éditique concerne le volet marketing à usage externe pour les clients et les prospects (publipostages, mailings…).

On parle de « chaîne éditique » pour décrire les différentes étapes depuis la réception des données, jusqu’à leur distribution après leur analyse et mise en forme.

L’automatisation, gage de sécurité

L’automatisation qu’apporte l’éditique réduit considérablement le risque d’erreur à destination des clients, comme des fournisseurs. S’assurer que l’ensemble des destinataires reçoit à la bonne adresse et dans les délais ses courriers crédibilise une entreprise et favorise les bons rapports avec l’ensemble de ses interlocuteurs.

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La rationalisation des coûts

Pour une entreprise, la gestion des publipostages est lourde. Elle requiert du personnel et du matériel (papier, enveloppes, copieurs, machines à affranchir, entretien du parc machines…).

Faire appel à un prestataire extérieur permet de réduire ces coûts. On estime à 40 % l’économie en déléguant l’éditique, tout en conservant un service productif et efficace. D’autre part, regrouper et massifier les envois permet d’obtenir des tarifs postaux dégressifs.

L’entreprise est ainsi assurée que ses informations sont délivrées aux bonnes personnes, au bon moment, et à des coûts raisonnables.

Les progiciels d’éditique

Avec le développement de l’éditique sont apparus des progiciels qui lui sont consacrés. « Progiciel » est un mot valise né de la contraction entre produit, professionnel et logiciel. C’est donc un paquet logiciel multifonction adapté.

Ces logiciels et outils éditique permettent d’optimiser les coûts marketing. Ils gèrent un document de base qui est personnalisable, grâce à sa composition dynamique. Si l’on prend pour exemple un call center, cela signifie que le document sera traité lors de la communication téléphonique avec le client, ainsi que par le service administratif.

Le progiciel couvre toute la chaîne éditique :

  • conception du document ;
  • personnalisation ;
  • production et impression ;
  • diffusion ;
  • suivi ;

La force de ces progiciels tient dans leur capacité à collecter des données et à les traiter pour les convertir sous différents formats, que ce soit en entrée ou en sortie. Ils créent ensuite des matrices sur mesure et peuvent imprimer dans de très grosses quantités, généralement la nuit.

Investissements publicitaires Internet et TV : les prévisions de ZenithOptimedia

Des années qu’on prédit la mort de la TV au profit d’Internet. Cela n’arrivera probablement pas tout de suite et la TV, en pleine mutation, restera un média attractif. Ce sont par contre les rapports de force qui vont évoluer. Actuellement second pôle d’investissement publicitaire derrière la télévision, internet devrait devenir le numéro 1 dès 2018. Toujours selon les prévisions de l’agence, en 2018, les investissements sur Internet mobile dépasseraient les investissements sur Internet « fixe ».

Source : Investissements publicitaires Internet et TV : les prévisions de ZenithOptimedia

La rentabilité des différents canaux digitaux

L’emailing, le référencement naturel, le marketing de contenu, et les campagnes au clic, sont (encore) aujourd’hui les meilleurs canaux d’investissement publicitaires digitaux. Difficile de s’y retrouver parmi tous les chiffres et données statistiques, fruits d’études en tout genre en provenance pour la plupart des US. Chaque canal e-marketing présente ses intérêts et les objectifs en sont […]

Business Marketing Service dans la presse

Le magazine Entreprendre du mois d’avril 2015 consacre un article à Business Marketing Service « Lancement de projet : Comment bien communiquer »

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Publicité digitale en France. Marchés, tendances, évolutions sur l’année 2014

Retour sur le marché de la publicité en 2014

Avec 31.8 Milliards € investis dans les supports publicitaires en 2014, une proportion d’annonceurs moins importante, et une influence certaines des acteurs d’envergure, l’évolution du marché, même modérée continue de progresser par rapport à 2013. Lire la suite

L’investissement publicitaire, c’est quoi ? | Observatoire indépendant de la publicité

A quoi sert l’investissement publicitaire? Publicite internet L’investissement publicitaire représente un engagement de moyens financiers, par l’achat d’espaces publicitaires afin d’en retirer un bénéfice au moins un peu supérieur. Logique qui veut que l’on fasse parler de soi. La publicité doit aussi être réfléchie en amont pour être mieux orchestrée ensuite. Les étapes à définir […]

La psychologie au service de la performance marketing

La tendance marketing de demain s’inspirera de plus en plus de nos comportements et attitudes face à des situations données. Bien des pratiques sont interdites, comme les images subliminales glissées dans les vidéos, pour éviter que la publicité influence notre inconscient. Cependant des études sont restent menées pour savoir ce qui influence notre comportement en situation. D’après les tests effectués par l’agence Pardot les leviers qui poussent un consommateur à acheter et ses réactions face à un message publicitaire seraient toujours identiques. L’art d’influencer un acheteur potentiel se résumerait ainsi à cinq principes simples tirés de la psychologie. Lire la suite

Leviers de rentabilité des sites e-commerce

Les articles du JDN réunissent quantité d’informations réellement intéressantes pour ce blog. Voici que que ce matin est paru un tout nouvel article sur les leviers de la rentabilité des sites e-commerce. Parmi toutes les informations présentes dans l’article, il nous faudra retenir avant tout :

Avec une constante longueur d’avance, ce sont les grands sites et les leaders qui monétisent majoritairement leur audience. Ce qui tend à tirer les statistiques de tous ces acteurs vers le haut. Notons qu’il reste tout de même un réel potentiel inexploité des petits sites et sites intermédiaires.

 

Le coût d’acquisition est clairement identifié comme principal responsable de la perte de rentabilité. De ce fait  tous ces acteurs misent principalement sur la publicité pour monétiser son audience. Et l’exploitation des partenariats, services associés et bases client peuvent s’avérer payantes.

Par ailleurs, 68% ont relevé que leur rentabilité s’était accru dès lors qu’ils s’étaient donné la peine de monétiser leur audience.

L’ensemble de cet article sur : http://www.journaldunet.com/ebusiness/commerce/leviers-rentabilite-e-commerce

 

Savoir utiliser des supports publicitaires et médias disponibles pour répondre aux enjeux marketing

C’est une question qui se pose dès lors que nous avons un budget communication à dépenser et une définition des objectifs bien établie et validée. Reste maintenant à savoir comment répartir notre communication parmi les supports disponibles. Lire la suite

Quelques données sur le courrier publicitaire imprimé

Malgré tout ce que l’on peut publier sur le e-marketing, n’oublions pas que la publicité papier reste aujourd’hui le premier support d’investissement publicitaire utilisé en France. Certains grands acteurs de la publicité imprimée regroupé au sein du GIE Bal métrie se sont donc décidé à ré-affirmer le positionnement de ce support en mettant en place une mesure d’audience régulière du mass média courrier.

Et les premiers résultats de cette enquête nous ont été dévoilé en octobre dernier. Faute de n’avoir pu me procurer les graphiques, voici quelques chiffres relevés s’inscrivant dans le cadre du blog ;

Sachant que 27,8% des Français lisent «attentivement» au moins un imprimé publicitaire par semaine.

Les courrier publicitaires sont les plus lus que les autres courriers les lundi, mardi, et mercredi de la semaine. Ils représentent alors plus de 30% d’audience. Les courriers personnels, administratifs et de gestion prennent la relève les jeudi, vendredi et samedi. Le dimanche, même si les français en lisent peu, c’est le courrier d’information qui est le plus lu.

Le courrier commercial et adressé connait quant à lui une constante du lundi au samedi (autour des 23%).

Au delà de ça les hommes et les femmes lisent en moyenne 5,9 imprimés publicitaires par semaine + environ 2,2 courriers publicitaires adressés. Parmi eux, les + de 60 ans en sont les plus « friands » (si j’ose m’exprimer ainsi) alors qu’à contrario, les 15-34 ans n’en lisent que peu. De même que ceux sont les gros consommateurs de presse écrite qui sont également les plus attentifs aux courriers adressés, alors que les internautes affirmés en lisent beaucoup moins.

Maintenant la question est de savoir comment interpréter ces chiffres ? Vaste sujet car la notion de transformation n’y est point abordée dans cette étude. L’objectif de ce canal étant de pouvoir toucher et attirer l’attention d’un maximum de personnes, considérons que pour maximiser le ROI de ce canal, il vaut mieux adresser son courrier commercial a des femmes ou des plus de 60 ans de façon régulière et constante et privilégier les trois premiers jours de la semaine pour diffuser en masse le non adressé.

 

Impact des canaux offline sur les recherches online

Il est des études toujours plus utiles lorsque l’on peut établir un lien entre les supports physiques et l’influence que cela porte sur le comportement de l’internaute. Mieux encore, cette étude apporte même une mesure supplémentaire sur la publicité offline. Puisque tout se mesure sur internet, pourquoi pas le ROI des campagnes offline.

Ces données datent de 2007, et je n’en ai trouvé de plus récentes.

Néanmoins, nous pouvons désormais poser des chiffres sur l’impact d’une publicité effectuée à la télévision, la presse, la radio, ou une campagne d’affichage. Plus de deux tiers (67%) des recherches concernent une entreprise, un produit ou un service après avoir été touché par une publicité vue, lue, ou entendue.

 

Ces chiffres respectent les idées reçues et la télévision conserve un réelle suprématie. Pourtant, sans son ni mouvement, la presse se hisse fièrement en seconde position. Ces campagnes sont donc de belles performances marketing.

Il est fort à parier qu’en 2012 ces chiffres aient tout de même sensiblement évolué tant l’utilité du net et l’offre proposée ont changé. L’ascension du social, et surtout la maturité des utilisateurs provoquent un comportement plus actif et ceux-ci n’attendent probablement plus d’être touché par la publicité pour orienter leurs recherches.

Source : iprospect.com

Dépenses publicitaires en 2012

Voici une information encourageante qui nous vient de strategyanalytics.com. Elle intéressera les marketeurs professionnels. Et encore plus spécialement les interlocuteurs de la communication internet.
Ainsi les dépenses budgétaires publicitaires en 2012 devraient poursuivre une croissance convenable et grimper de +3,2 % au global en France. Les publicités de médias traditionnels semblent profiter de cette hausse, mais le véritable bénéficiaire de cette tendance reste une fois de plus internet qui prévoit de voir ses revenus augmenter de près de 10% au profit de la presse qui, une fois de plus poursuit sa dégringolade.

 

 

Brief rapide

Depuis l’appartion de l’imprimerie, la publicité anime notre quotidien visuel et s’invite dorénavant dans presques toutes nos lectures, mais aussi sur nos murs et façades extérieures dans un seul et unique but : être vu ! A tel point que qu’elle en est qualifiée aujour’hui de « polluante » Et pour cause ; différents formats de publicité visuel sur supports imprimés sont maintenant utilisés; panneaux 4×3, banderolles, fyers, dépliants, autocollants… et sur les bus, les metros, les taxis, et autres véhicules . Bien que les coûts de production à grande échelle peuvent parfois s’avérer onéreuse, ce moyen publicitaire n’en reste pas moins utile. Et s’il demeure difficile d’en mesurer les retombées, nous pouvons toujours sélectionner le support le plus approprié au secteur d’activité ou l’approche commerciale.